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Les Aventures Croustillantes +18 ans

Brésilien second round

On commence, il m’embrasse, il bande déjà. Son baiser est trop mouillé pour moi. Trop de langue aussi, mais bon j’ai vu pire. Ses mains en revanche, elles, font mouche.

Brésilien second round, (Photo by Dainis Graveris on Unsplash)

Dépourvue de canadien, je finis par répondre aux relances du petit brésilien impatient de recommencer nos ébats dans sa voiture pour un second round ! 

En voiture, Mymy

Il vient donc me chercher chaud comme la braise à bord de son tacot, tacot mais pratique quand on n’a pas d’endroits où aller. Quand je monte, son regard brûlant me toise de haut en bas. Je ne vais pas garder longtemps les quelques vêtements que j’ai sur moi, à priori !

Il raté la rue où je lui conseille d’aller, la bosse dans son pantalon a l’air de le distraire de la route.

Tant bien que mal, après avoir fait demi tour deux fois, et après qu’il ait glissé ses doigts sous ma jupe plusieurs fois, il se gare dans une ruelle vraiment pas loin de mon hostel. Je crains de croiser des gens, mais tant pis. 

Le Brésilien se chauffe rapidement

On commence, il m’embrasse, il bande déjà. Son baiser est trop mouillé pour moi. Trop de langue aussi, mais bon j’ai vu pire. Ses mains en revanche, elles, font mouche. Il me touche aux bons endroits… Mon débardeur et mon soutien gorge volent rapidement, nos corps se joignent, ses mains et sa bouche sont avides de me découvrir encore et encore. Le levier de vitesse et la configuration des sièges avant, empêchent la fluidité de nos mouvements. On passe à arrière de sa voiture.  

Quelques caresses, quelques jeux de bouche, et il me supplie presque de venir sur lui. Évidemment, j’en ai très envie aussi.

J’imprime le rythme, je joue avec son désir. Son excitation est telle qu’il me demande plusieurs fois de ralentir ou d’arrêter pendant quelques secondes. Quelques minutes plus tard, il est vaincu, il se tend en râle timide. Et je sens entre mes cuisses et mes doigts son corps se relâcher. 

Titanic version Brésil

Je me dégage et je viens m’asseoir près de lui. Il m’attire contre son torse baigné de sueur. J’ai une petite montée de dégoût, mais sa chaleur et son étreinte font rapidement passer ce sentiment fugace. Les vitres de la voiture sont pleines de buées, on rit de la similitude avec Titanic, similitude qui s’arrête à ce simple constat. Oui faire l’amour dans une voiture fermée créé un sacré paquet de buée ! Clap clap. 

On continue de se câliner en discutant, c’est agréable. Il est intéressant, et je le fais rire. Mais je sens que je me lasse déjà. 

Je baille, il en profite pour me proposer de me ramener. Je pourrais rentrer à pieds, je suis à deux pas, mais il insiste.

L’affaire de la culotte inconnue

En me rhabillant, j’attrape une culotte, je ne la reconnais pas, je la jette de son côté en lui disant que celle ci n’est pas la mienne. Il me regarde hyper étonné, m’affirme que ça ne peut être que la mienne. 

Après une recherche plus approfondie de mon bout de dentelle à moi, il me retend la culotte, l’étiquette Undiz ne laisse aucun doute, c’est la mienne. 

On en rit, il se moque de ma réaction, de mon jet de culotte. L’atmosphère est détendue et finalement on reste un peu plus longtemps à imaginer un jet de culotte par la fenêtre, sur la route… 

À Bientôt

Bref. Je le reverrais sûrement. Ce n’est pas le meilleur coup de ma vie, mais c’est mieux que rien 😉 

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