Lucas le Brésilien, (Photo by Dainis Graveris on Unsplash)
Face au silence de Max (je reviendrais sur nos deux dernières escapades…), et après une petite relance arrivée au bon moment, j’ai décidé de rencontrer Lucas le brésilien.
Après tout, Lucas avait l’air souriant sur ses photos et j’avais tellement envie de sexe et peut être aussi d’attention que j’ai craqué. Je lui ai donné mon numéro.
Tinder
Nous avons échangé quelques textos innocents, avant de commencer à déraper vers des messages un peu plus intimes et puis carrément coquins.
Nous avions prévus de nous voir le lundi dans la journée. Mais dimanche, au brunch, tout le monde buvait, j’ai rejoins la tendance, et vous savez comment je deviens avec l’alcool.
Après quelques verres, et quelques conversations, j’étais en feu, j’avais envie qu’on me réchauffe à l’intérieur.
J’ai pris mon clavier, et en quelques phrases et surtout en deux photos, j’avais convaincu le petit brésilien de venir me chercher en voiture.
Une petite trentaine de minutes plus tard, il était devant. Sa voiture n’était pas de toute jeunesse, mais l’intérieur était propre.
Premières impressions
Il avait un beau sourire et une bouille sympa, il ne semblait pas très grand assis sur son siège, mais peu importe, maintenant qu’on était là.
Le premier baiser fut hésitant puis plus intense. Il était clair que nous avions envie tous les deux de passer rapidement à la vitesse supérieure.
La bosse de son pantalon ne laissait pas de doute sur son empressement et il gara la voiture quelques rues plus loin, près d’un petit square dans la pénombre.
Parc encore
Désormais experte en recoin dans les parcs, je le pris par la main, le conduisant selon moi dans le coin le plus sombre et discret. A la vue de son pénis, je fut un peu déçue, il n’était pas aussi gros que je l’imaginais. C’est sur que la comparaison avec Max n’est pas flatteuse, mais on verra bien ce qu’il en fait.
Je cachais ma déception, derrière un regard brûlant, et il ne fallut pas longtemps pour que nos corps se joignent. Il était doux et attentif à mon plaisir.
Mais les moustiques ne me laissaient aucun répit, et le plaisir était gâché par les mains et les pieds qui me démangeaient.
La voiture
Je lui proposais de rejoindre sa voiture. Une fois dedans, il ne mit pas longtemps à terminer son assaut et nous restâmes enlacés, mes doigts dessinant des arcs de cercles sur la buée de la vitre. Son câlin était tendre, et dura un petit moment, à discuter, à me complimenter.
Il faudra qu’il progresse, mais Lucas le brésilien pourra être une bonne alternative à un Max distant, et sans doute d’ailleurs disparu pour toujours.