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Les Aventures Croustillantes +18 ans

Quand le désir rencontre le Canada… 130

Il est féroce et sauvage, il me mange, me déguste et me dévore à la fois. On rit, on s’embrasse, on est tous les deux fous, tous les deux remplis d’envies plus coquines les unes que les autres.

Désir, (Photo by Dainis Graveris on Unsplash)

Une sortie imprévue… Pleine de désir

Mercredi, après quelques verres, la néerlandaise me pousse à sortir. Bon d’accord, elle n’a pas eu à trop me forcer la main ! 

On part donc avec un Irlandais Mickaël, qui travaille à l’auberge, un écossais (qui m’aime bien je crois… Mais c’est pas réciproque..) et la néerlandaise. C’est un bar dansant sympa, on y danse, on chante, on se prends des shots. Bref une bonne soirée. 

Là d’autres nous rejoignent, dont Scott from Scotland que j’aime bien mais je ne sais pas trop pourquoi. Il est avec une fille, je suis déçue. 

Je parcoure la salle des yeux. Mon regard tombe sur un grand grand mec, très mastoc, avec un visage très sympa. 

Je continue de danser, je le perds de vue, tant pis. 

Proie repérée

Une petite demi heure après, sur une chanson latina un peu sexy, je le vois. Nos regards se croisent, ils sont sans équivoque. Il fond sur moi, il  me prend par la hanche. Mon désir monte instantanément. Mes yeux ne quittent pas les siens. Mes hanches se collent aux siennes, nous esquissons quelques mouvements de bassin en suivant le rythme cadencé de la musique. 

Naturellement ma bouche trouve la sienne, et ne veut plus la quitter. Le baiser est long, langoureux. Nous n’avons pas de doute sur la suite de la soirée. 

La chanson passe, une autre suit, mais l’envie de l’autre est trop forte, j’ai envie qu’il me dévore, et il n’attend que ça. Nos bouches se séparent, nos regards parlent pour nous. On quitte la boite, on s’embrasse encore. On finit par se contrôler un peu et se parler… On échange nos prénoms, on rit de la situation. Il est québécois, a un accent marrant, il est vraiment sympa et a de la répartie. Je n’en suis que plus attirée. 

Le parc

On cherche un moyen, il est dans une auberge, moi aussi. Comment faire… On décide d’aller dans mon auberge. Mais on s’embrasse de nouveau, trop vite, trop fort, nos corps ne veulent pas attendre, on le sait, on le sent. 

On se tourne vers le parc, des zones du parc sont complètement dans l’ombre. On a tous les deux la même idée. On y croit presque, on se jette dans l’herbe, dans un coin pas éclairé, à l’abri des regards. 

Il est féroce et sauvage, il me mange, me déguste et me dévore à la fois. On rit, on s’embrasse, on est tous les deux fous, tous les deux remplis d’envies plus coquines les unes que les autres. 

Le désir ne s’arrête pas

On fait ça, plusieurs fois. À un moment, des gens passent tout proche, j’enfonce ma tête dans la pelouse. On en rit. 

On se relève pour repartir, il bosse demain. Mais on s’embrasse encore, on y retourne. Ses grandes mains sont en territoire conquis et je gémis sous ses caresses. 

Je ne sais combien de temps on y a passé dans ce parc. Après un dernier câlin et un échange de nos instas, on se sépare, encore enclins à craquer de nouveau. 

Je rentre avec l’équivalent de la pelouse d’un stade de foot sur moi et dans mon sac… Mais je rentre comblée, avec une folle envie de recommencer. 

On s’écrit rapidement. On veut se revoir, mais il va falloir trouver un endroit, on ne peut décemment pas adopter le parc… 

Menteur ?

On se décide sur vendredi soir, il annule, il est trop fatigué après son travail. On part sur samedi en journée à la salle de sport. 

En sortant le vendredi, je le vois à la pizzeria avec une blonde. Je me contente de lui écrire « Vu », il m’avait parlé d’elle, une fille pour qui il a des vues depuis longtemps… Il me répond au cours de la soirée, on échange des messages marrants. 

La salle de sport… Désir avorté

Le samedi, on se rejoint à la salle de sport, il est aussi mignon que dans mes souvenirs nocturnes. On commence la séance ensembles, la tension sexuelle est palpable par moment, mais ce n’est ni le temps, ni l’endroit. 

Il est kiné, il m’aide sur mes positions, ses mains se baladent un peu parfois. 

On finit la séance chacun de notre côté, on se retrouve, on se fait un petit bisou… Je le quitte, on se verra peut être le soir. 

Un désir qui n’attends pas

Le soir, on s’écrit, il pleut des cordes dehors, le parc n’est pas une option. Je lui propose de passer à l’hostel. 30 minutes après il est là, il dit à peine bonjour à mes amis, je ne lui en laisse pas le temps. 

Je lui fais visiter, il m’embrasse… Il glisse sa main sous ma jupe, j’ai enlevé ma petite culotte. Je suis joueuse, je sens l’excitation qui monte dans son regard, et dans son short aussi. Je veux lui montrer le futur lieu du crime, avant de boire un verre et d’y revenir… 

Le lieu du crime : une salle de bain privative, assez grande pour y faire des coquineries. On ne tient pas, le verre de vin blanc attendra. La porte à peine fermée, il sort son arme… L’ébat sera sauvage et sensuel. 

On partage une bouteille de vin à l’écart du groupe en discutant et se chauffant. Il est déjà 1h, il se lève à 5h demain, ciao ciao... See you soon…

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