Les Suédois ont un petit Zizi ? 136

Petit Zizi, Photo by Charles Deluvio on Unsplash

Sustentée par ma petite proie de la veille, j’hésitais à remettre le couvert avec Harry, ou à rester sage. Je ne prévoyais pas vraiment de multiplier les proies le même weekend.

Pas que ça me dérange, ce ne serait pas la première fois que je couche avec deux garçons en deux jours, j’ai déjà fait pire, mais disons que ce n’était pas prémédité.

Pas Harry

Encore enivrée par les gins tonics que j’ai enchaînés gaiement, je commence à percevoir que le désir remonte en moi. J’ai envie de sexe, de nouveau, encore.

Harry est occupé, et j’ai envie de nouveauté. Il faut dire aussi, que j’ai été un peu froide avec le pauvre Harry ce samedi. Il me cherchait du regard, je l’ignorais un peu, il est venu me trouver, et m’a prise dans ses bras, je me suis enfuie… Désolée Harry, mais tu étais mon dîner du vendredi, je ne mange pas deux soirs le même plat…

Hum, sur qui pourrais-je aiguiser mes crocs ?

Aidée par une mauvaise chasseuse

Une autre fille, une autrichienne, se frottait à tous les mecs. Plutôt jolie, elle en faisait des tonnes, les touchait, twerkait, s’asseyait sur leurs genoux. Elle papillonnait de l’un à l’autre, cherchait leur attention. Elle l’avait ! Et je pense que plusieurs d’entre eux avait l’entrejambe bien tendue quand elle les approchait… Oui mais voilà à force de courir après plusieurs lièvres à la fois, on les perd tous !

Jeune fille (bon elle avait mon âge…), tu apprendras que si tu veux vraiment ramener un homme dans ta tanière, focalise toi sur une seule et unique proie…

Un Blondinet… pourquoi pas ?

Johan, le suédois, un blondinet, aux yeux bleus est l’un de ceux laissés pantois, après la tornade autrichienne. Je n’ai pas eu à faire grand chose, la douce me l’avait déjà pré-chassé, déjà réchauffé, prêt à être dégusté.

Je n’ai jamais couché avec un suédois, c’est l’occasion. Et puis l’après midi, j’ai eu le loisir d’observer son beau dos et son torse nu… Sorti de la douche, en pantalon chino, il se baladait le haut du corps à la merci de mon regard gourmand. Il avait éveillé mon intérêt.

Assis sur la terrasse, je me place à coté de lui. Je commence un peu à discuter. J’en viens à mentionner ma « concurrente », et je lui dis que c’est le genre de fille à te chauffer mais à ne jamais te manger… il opine du chef. Mes yeux sont déjà en action et plantés dans les siens, ils lui font comprendre que si elle n’a pas faim, moi en revanche, j’ai un petit creux…

Puis mes paroles complètent mon regard, je ne suis pas du genre à chatouiller son désir pour le laisser refroidir sur la terrasse. Il comprend le message. Il me propose de monter.

Roh parfait ! Mais quel weekend facile encore !! Le lapin se suicide en se jetant dans la gueule du renard ! Tant mieux, je sentais que l’alcool allait attaquer ma capacité à chasser de manière efficace.

Humm La Suède embrasse bien

Au milieu de l’escalier, il m’embrasse. Le baiser est vraiment bien. Je suis très agréablement surprise. Il est moins saoul que Harry la veille, et je le sens.

On s’agrippe, il est excité, j’adore. C’est un de mes moments préféré, quand le désir semble transpirer des pores de notre peau, quand on veut se dévorer mais qu’on est encore qu’à l’apéritif…

Dans le couloir, il me suit à la trace, il colle son bassin à mes fesses, je cours presque… Grrr Attrape moi si tu peux.

On arrive dans la chambre, je place ma gourde dehors (code entre ma coloc et moi pour dire qu’on est occupées avec un mec… ) et je le pousse à l’intérieur !

Les baisers se font de plus en plus intenses, les chemises volent, les sous vêtements aussi. J’attrape avec hâte la pochette de préservatifs, elle tombe au sol. Les petits carrés colorés se déversent sur le sol.

Petit Zizi

Allongée sur le dos, il est là face à moi… Son petit zizi tendu vers moi… Oups, je lâche le préservatif prévu, et je prends les plus petits, ceux qui font mal aux mecs bien membrés.. Pas de problème pour Johan, à mon avis.

C’est marrant, j’aurais imaginé que les Suédois en avait des grandes. Mais pas celui là. Ce n’est pas vraiment la longueur, qui est certes plutôt courte, mais c’est surtout la largeur… Oui c’est la taille d’une carotte, je dirais…

Bref, la surprise passée, on s’embrasse de nouveau quand il entre enfin. Et je ne sens pas grand chose… Oups. Je tente de faufiler mes doigts entre son bassin et le mien, pour susciter mon propre plaisir. Mais impossible il est collé à moi.

J’aime ça d’un coté. Il me rappelle la manière dont Kiki, un ex me faisait l’amour. Il m’agrippe, me serre, je suis écrasée par son poids et son désir. Oui sauf que Kiki, lui était un peu mieux membré… et puis j’étais plus excitée ? Je ne sais pas… Mais là, ça ne prend vraiment pas.

Splash, ça fait splash…

Il se relève d’un coup. Je ne comprends pas, il amène son bassin vers mon visage. Euh, que fais-tu jeune homme ? Splash, je n’ai même pas eu le temps de faire un mouvement de recul, que sa semence éclabousse déjà mon cou.

Merci mais si je pouvais éviter d’avoir les yeux rouges de nouveau… Vraiment ? Je n’en reviens pas ! Je le pensais innocent et un peu timide, et il vient de tenter de me faire une faciale sans préambule ? Wahou…

Je m’essuie avec ma serviette de sport. Me faire penser à la nettoyer demain… Et puis je ris, il rit aussi et s’excuse du bout des lèvres. Vraiment je ne m’y attendais pas.

Il est gêné maintenant, il n’assume pas son geste. Bon et puis mon coco, c’est pas tout, mais ça a duré 3 minutes tout ça… Comment dire, généralement j’ai bon appétit, alors j’ai du mal à me contenter d’une cacahuète.

Aller faut que je file…

On se câline, il a les bras accueillants et j’y suis bien. Mais on est dans un dortoir de filles, donc il vaut mieux éviter de rester trop longtemps. Sauf si c’est pour vraiment utiliser notre temps ici…

Aller encore un petit morceau… Je tente de frotter mes fesses, recette magique… Mais son petit zizi est endormi… et il ne semble pas prêt à vouloir se réveiller.

Tant pis ! Je prétends qu’il faut qu’on file vite, que c’est vraiment risqué ce qu’on fait. Je commence à me rhabiller, il me regarde un peu brusqué. Hop hop Blondie, on retourne à la soirée !

Je file me laver, c’est pas tout mais je ne vais pas me balader avec ton sperme en guise de collier.

OUPS… MERCI LES COPAINS

Arrivée en bas, il est déjà sur la terrasse. Je reste à l’intérieur et on débriefe avec mes amis. Le pauvre, je suis éméchée et les derniers secrets de la décence ont volé en éclats. J’aurais pu m’abstenir, c’est vrai, de dire à tous la taille de son membre… Mais je n’ai pas pu m’en empêcher…

Non par contre, mon pote Eddy lui aussi aurait pu s’abstenir de le clamer haut et fort… Sur la terrasse en présence de l’intéressé… Le pauvre. Il a dû me détester…

Ou PAS… Second round…

Eh bien, finalement, il n’a pas l’air de m’en tenir rigueur. Une petite heure plus tard, il passe près de moi et me souffle qu’il a oublié son porte feuille dans ma chambre. Je hausse les épaules, pas de souci, il peut aller le chercher…

Il prend ma main et plante son regard dans le mien. Haha oui j’ai compris maintenant suis-je bête… Il préfère que je vienne avec lui. Coquinou le petit suédois.

Je le suis dans l’escalier, il m’embrasse de nouveau, fait naître de nouveau, mon désir se réveille. On court presque jusqu’à la chambre.

Bouteille d’eau, porte fermée, vêtements envolés. Les préservatifs sont toujours à terre…. Un petit rose pour le petit Kiki, je change de position, j’essaie d’en prendre une où je suis sûre de pouvoir m’auto contenter au cas où.

Bon j’espère que cette fois ci, tu prendras ton temps mon petit blondinet. Il se cogne la tête, c’est mauvais signe…

Mes doigts pianotent sur mon anatomie, pourvu qu’il ne vienne pas trop vite… Je le sens se tendre dans mon dos… Non pas déja ??

Il se dégage et vient se coller pour un câlin… Ok Blondie, tu as un petit Zizi, passons, mais au moins sois un peu endurant ?? Argh !

Bon je sens que je vais rester sur ma faim ce soir, il n’a pas l’air de très bien se servir de ses doigts et il essaie en vain de faire décoller mon plaisir… Sans succès.

Mon portable s’allume, ma coloc veut dormir, moment idéal pour stopper notre câlin et retourner faire la fête, puisqu’il n’a pas su faire la mienne…