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Les Aventures Croustillantes +18 ans

Le plaisir est de retour

Le retour de mon américain est imminent, et le retour du plaisir intense, transcendant ne va pas me laisser indifférente.

Quel plaisir de ce retour, Photo by Dainis Graveris on Unsplash

Enfin de retour

Après 3 semaines d’absence, le bel américain est enfin de retour. Je savais de source sûre qu’il revenait ce jeudi. 

Après le travail, je file directement au sport. J’essaie de faire taire un peu les espoirs de mes hormones émoustillées à l’idée de retrouver le grand barbu. 

Bonne séance de gym, douche, petite chemise enfilée, et je rejoins la salle de vie commune de l’hostel la culotte gonflée d’espoir. 

Oh mais qui vois-je assis à la table de la cuisine, finissant sa pizza… mon bel américain. 

Un sourire coquin se dessine déjà sur mon visage. Je m’approche, doucement, il n’a pas remarqué encore ma présence. Quand il finit par me remarquer, il me fait un check de bonjour, mais ses yeux m’annoncent déjà que je vais peut être goûter de nouveau au plaisir de ses lèvres. 

Nous passons la soirée à discuter attablés, je ne pense même pas à dîner. Les yeux sont fixés sur Ben. Ma vulve palpite déjà d’excitation, mais je me retiens, je profite aussi de ces conversations lunaires qu’on ne peut avoir qu’avec lui. 

Il n’y a plus que lui et moi, qui discutons, les sujets ont épuisé les autres. Exceptionnellement, je sirote du vin, il faut bien fêter son retour. Je me demande quand nous allons basculer. 

La question ne se pose pas longtemps, il se lève, et me fait un signe de tête pour rejoindre sa chambre. 

Euh, oui, oui, oui… c’est parti. À peine entrés dans la chambre, il m’embrasse. Humm que c’est bon de retrouver ses lèvres. Un léger goût de whiskey trahit les quelques verres qu’il a pris, mais ce n’est pas désagréable. 

Argh le retour du plaisir

Il ne faut pas longtemps à ses doigts pour partir à l’attaque des boutons de mon chemisier. L’un après l’autre, ils capitulent pour laisser accès à mon joli soutien gorge rouge en dentelles.

Humm, c’est si bon de retrouver ses lèvres gourmandes et sa langue qui s’active pour me donner le plus de plaisir possible. Ah elle m’avait manqué. Je ferme les yeux et je profite du moment. Je me sens très gourmande ce soir, et c’est à mon tour de le dévorer. Mes lévres s’activent, ma langue s’enroule autour du fruit de mon désir. Et mes aptitudes se confirment. Je sens le désir et le plaisir grandir au creux de mes reins, ses râles et cette douce sensation d’être au service de son plaisir ne font qu’augmenter le gonflement de mon clitoris sous ses doigts.

Je pourrais continuer de longues minutes encore, mais j’ai aussi envie de le sentir en moi. Le souvenir n’était pas trompeur, et chaque position est une nouvelle forme de plaisir. Mon corps en redemande, encore et encore. Je le sens se tendre dans un dernier soubresaut de plaisir.

Nous nous allongeons suant, un sourire coquin sur les lèvres. Je me blottis contre lui, ma vulve palpite encore du plaisir qu’il vient de me donner. On discute de philosophie, jusqu’à une heure avancée. Je m’endors avec déjà le projet de recommencer le lendemain.

On ne va pas s’arrêter en si bon chemin

Le lendemain, je pars au travail le pubis en joie. J’ai déjà hâte de recommencer. Je file au sport après le travail, puis je me prépare. Je ne sais pas si on sort, mais je mets une tenue sexy, au cas où et pour ma petite proie maison. Nous prenons tous ensembles l’apéritif sur la table de la cuisine. Les conversations vont bon train, mon ours nord américain est là, je le dévore des yeux toute la soirée. J’attends le moment de l’attaquer, le moment où nous nous dirigerons vers sa couche pour finir en beauté.

La patience n’est pas mon fort, et tout mon corps tend à se coller au sien. Je dois prendre sur moi. Respire petite nympho, respire.

Le sujet dévie sur les yeux pervers, il dit avoir des yeux de violeur, je rebondis. N’ai-je pas moi aussi des yeux de violeuse ? Il rit, j’ai les pires yeux de violeuse de la terre. Cinq minutes plus tard, il me propose de tester ces « Rapping eyes » dans sa chambre ! Je ne vais pas me faire prier. On quitte la table sans un mot, nous ne reviendrons pas.

Les préliminaires sont intenses et longs. J’adore sa manière de prendre son temps, de se donner mutuellement du plaisir avant d’enfin le sentir bien excité en moi. Le lit cogne contre le mur, mes jambes passent de dessus à dessous, mais quoiqu’il arrive le désir et le plaisir ne quittent pas mon intimité.

On s’endort enlacés, épuisés.

Sexe du matin, entrain

Samedi matin, je me réveille, je sens la chaleur de mon entrejambe qui réclame encore son outil magique. On traîne dans son lit, on se câline, les mains deviennent baladeuses. Et on finit par le refaire, doucement, puis plus intensément. Punaise qu’est-ce que c’est bon de commencer la journée comme ça. Le sentir en moi me rend encore plus excitée. Ses doigts coquins pincent ma poitrine, agrippent mon cou, il a cette habilité à être à la fois tendre et ferme. C’est la parfaite dose de domination.

J’atteins plusieurs fois l’orgasme avant de reposer ma tête contre son torse et de me rendormir quelques minutes.

Frustrée par avance

Je le quitte pour aller chez le coiffeur. La journée passe vite, je le rejoins pour un ciné avec BlueBoatHouse et SpaceCookie. Argh, c’est un si beau spécimen, j’ai du mal à ne pas humidifier ma culotte en le voyant. C’est presque insupportable, ses yeux, ses lèvres éveillent mes sens, ma langue passe sur mes lèvres inconsciemment. La salive envahie ma bouche, si je n’avais pas peur de le braquer et le faire fuir, je me jetterais sur ses lèvres.

C’est débile, je ressens une pointe de jalousie quand il regarde SpaceCookie, je n’ai pas envie qu’une autre me remplace dans son lit. Ce n’est en rien justifié, et je ne lui dois rien et lui non plus. Je chasse cette idée d’un revers de main.

Au cinéma, je prends sur moi pour ne pas mettre ma main dans son caleçon. Ici mon rôle n’est pas celui de l’amante, mais celle de l’amie. J’apprendrais à mes dépends que c’est parfois compliqué d’en établir la frontière.

Sur le chemin vers l’hostel, il annonce ses projets pour la soirée, il prévoit de jouer aux jeux vidéos toute la nuit avec ses potes des US. Euuuuhhhh comment ça toute la nuit ?? 5h ??? Euh, oui, mais… Tu avais dis qu’on mangerait des knackis…

Je suis frustrée par avance. C’est dingue, d’être accro au sexe avec lui à ce point là. C’est comme si toutes les cellules de mon corps ne tendaient qu’à ce moment où nos corps joueront en harmonie.

Le retour des crocs.

La soirée se poursuit, il est toujours là. Nous faisons des jeux à boire tous ensembles. J’essaie de ne pas le coller, histoire de calmer un peu la tempête sous la dentelle.

Je rejoins Pokemon sur la terrasse, histoire de ne plus fixer le fruit de mon désir, de me reconnecter à la réalité. Pourtant mes pupilles le cherchent, elles s’attardent sur les traits de son visage, un instant je suis de nouveau dans son lit. Oups, j’ai décroché. Aller ma fille, il va falloir tenir la distance pour rentrer après 5h et le cueillir après sa nuit de jeux video.

Le bougre vient nous rejoindre sur la terrasse. C’est dangereux, mon lapin, j’espère que tu le sais. Je suis bien trop saoule pour me contrôler, je l’approche, je plante mon regard dans le sien. Peut être peut-on envisager une session sexuelle avant son jeu ?

Il me repousse gentiment, non, pas ce soir, vile tentatrice. Je feins de capituler. Mais je continue de poser mon corps sur le sien, d’allumer son regard avec le mien. Je sens que quelques digues cèdent, mais il est bien décidé à camper sur ses positions. Aller, juste une petite bouchée ? Ne serait-ce pas un juste retour pour tous mes efforts ?

Tout le monde part se changer pour sortir. Captain America annonce qu’il se retire dans sa chambre. Je le suis, je tente le tout pour le tout. Il finit par me dire, qu’il a besoin de repos, d’un petit break pour faire ça bien de nouveau. Ok, ok, j’ai compris. Pas de visite nocturne à 5h…

Mais peut être demain matin au réveil ? Il hoche la tête l’oeil coquin… Rendez vous à ton réveil…

Un réveil en douceur

J’échappe à la sortie, je bois un brin trop. Mais je me réveille plutôt fraîche le lendemain. Assez fraîche pour descendre dans la chambre de mon étalon…

Je rentre à petits pas, je m’attendais à le voir endormi dans les draps chauds. Aucunement. Il est bien éveillé, le casque sur les oreilles, et… Et … la main dans le caleçon. Le mouvement de sa paluche ne laisse aucun doute de ce qui s’y passe !!

Bah alors, on n’attend pas Mylène ??? Ça aurait pu me refroidir, mais je m’en fiche. Je m’approche, je me déshabille lentement. Il est clairement fatigué et a la gueule de bois. Ttttt ne bouge pas mon beau, ce matin je m’occupe de toi.

Mes gestes sont doux et sensuels au début, puis se font plus précis et plus érotiques. Mes lèvres se serrent sur son plaisir, et je sens que ce matin, il sera le seul à jouir. Mais j’aime cette sensation, et mon corps est en feu de lui donner ce réveil torride.

Il apprécie, et quand mon oeuvre est terminée, nous trainons un moment enlacés au lit.

Retour du pote

Nous partons dans deux grosses semaines en road trip avec quatre autres personnes. La sélection du road trip s’est faite de façon fortuite et nous n’en sommes ni l’un ni l’autre les instigateurs.

Aujourd’hui, brunch ave l’équipe. En quittant son lit, je quitte le rôle d’amante pour celui d’amie. Eh bien, je peux vous garantir que quand votre vagin se serre à chaque fois que vous croisez son regard, c’est compliqué à tenir.

Je garde mes distances toute la journée, enfin du moins j’essaie. De retour à l’auberge, nous allons au sport avec Pokemon et Mister America. Amis, Amis, Amis… Oh il est viril quand même…

Ce soir là, j’ai terriblement envie de le croquer, terriblement envie de le violer dans sa chambre. Mais je n’en fais rien. Je fais profile bas, et je pars dormir dans mon lit sans demander mon reste. Consciente qu’il a besoin de son espace, de son sommeil, je mets de côté mes envies indécentes.

Méditation et sexe…

Le Lundi, je rêve de son corps tout le temps où je jardine. Oh qu’est-ce que j’ai envie de son corps fusionnant avec le mien !

Calmos girl. La soirée se passe, je cherche sa présence. Je sais que je suis collante, et même si ce n’est pas ce que je veux, mes hormones sont bien plus puissantes que les quelques neurones endormies de mon cerveau.

On s’éloigne un moment des autres, il doit aller préparer le cours de méditation qu’il a prévu pour SpaceCookie le lendemain (Mais ne serait-ce pas une pointe de jalousie que je ressens encore ?). Ah non, ce soir, tu ne m’échapperas pas. Je lui propose mon aide, il pourra s’entraîner sur moi.

Et … Et… nous faisons vraiment une séance de méditation. Ah ça, je ne m’y attendais pas ! Respiration, visualisation, perception de mon corps. Je joue le jeu… Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour une belle saucisse américaine !!

La séance terminée, je commence à le câliner avec des idées bien moins naïves en tête. Le retour du rabat-joie… Quand il médite, il n’est pas d’humeur coquine.

Mouais quelques mouvements de bassin sur sa cuisse, mes pupilles qui foudroient les siennes, et ses lèvres se posent sur les miennes.

Oh mon dieu, que le sexe est bon. Je ne ferais pas dans les détails, c’est à chaque fois un nirvana pour mon corps. Mais cette fois là, je ne sais pas si c’est la méditation ou le bonhomme, mais mon orgasme n’a jamais été aussi long. C’est comme si je ne pouvais pas l’arrêter. Il dure, encore et encore. J’en tremble rien que d’y penser.

La nuit ne fût pas très longue ensuite, mais la fatigue est une goutte d’eau dans mon océan de plaisir.

Souillons la chambre privée

Il était censé repartir travailler le mercredi matin, il n’a réservé la chambre privée que jusque mardi soir. Pourtant il reste finalement, mais devra déménager en dortoir.

Je suis terrassée par la nouvelle. Pas qu’il reste évidemment, mais qu’il perde la chambre. Il passe la soirée ailleurs ce soir, mais il me propose par message de se retrouver après pour souiller la chambre une dernière fois. Avec grand plaisir mon chaton…

Le soir, je sors aussi de mon coté. À mon retour, il est déjà là. Dans sa chambre, je le retrouve vers minuit. Et là, plus de place à l’hésitation, on s’agrippe, on se mange, on se lèche, on profite du corps de l’autre. Nos plaisirs se relaient, se consument, se rejoignent. Nos corps se fatiguent de la meilleure des manières qui soit.

Punaise, ce mec sait vraiment me faire monter au plafond. Le temps s’écoule sans que je ne le ressente. Comment fait-il pour rendre ça si bon ?

Fatigue et frustration

Le lendemain, je suis épuisée. Le travail est long, et seules les pensées qui me lient au corps de Captain America me rendent éveillées. Il a finalement gardé la chambre privée, et part aussi finalement le lendemain matin.

Mince, je comptais dormir ce soir et garder mon énergie pour faire l’amour longtemps le lendemain. Mais c’est son dernier soir, ce serait dommage de ne pas en profiter. Une dernière bouchée de gâteau avant qu’on me l’enlève.

Le soir, nous discutons un peu. Il n’est pas là ce soir, il ne ferme pas la porte à une potentielle petite partie de jambes en l’air à son retour… Je suis aux anges.

Mais les heures défilent, je suis épuisée, les muscles de mon corps me crient d’aller me coucher. Mes maudites hormones ne sont pas de cet avis… Reste éveillée ma fille, il va rentrer… Et tu sais que ça vaut le coup…

Mais il est de plus en plus tard et je me lève si tôt le lendemain. J’envoie un message, il répond, il ne va pas rentrer tout de suite et il va falloir que je fasse avec. Euh… Le message est presque méchant. Je le prend mal.

Mes muscles et mon envie de dormir l’en sont reconnaissants. Pourtant, l’amertume de la frustration me reste en travers de la gorge…

Le lendemain, j’ai envie de l’ignorer, mais en le voyant étendu endormi sur le canapé, c’est plutôt de coller mon bassin au sien dont j’ai envie. Je n’en ferais rien.

Ciao l’américain ! À la prochaine… À ton retour avant le road trip…

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